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Formation Composants électroniques niveau 2

évaluation en contrôle continu

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, lunettes)

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, bleu de travail adapté au soudage)

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, casque)

Tarifs

En centre de formation | Tarif INTER ENTREPRISE: 1500 €HT par personne pour la durée totale de la formation
Formation sur site client | Tarif INTRA ENTREPRISE :1500 €HT par jour de formation pour le groupe + déplacement sur site client
Formation à distance / INTER-ENTREPRISE / Non disponible en E-Learning / Classe virtuelle / Visio conférence | Tarif :1450 €HT par personne

1450

Répartition pédagogique: 30% théorie / 70% pratique
En centre de formation | Tarif INTER ENTREPRISE: 1500 €HT par personne pour la durée totale de la formation
Formation sur site client | Tarif INTRA ENTREPRISE :1500 €HT par jour de formation pour le groupe + déplacement sur site client
Formation à distance / INTER-ENTREPRISE / Non disponible en E-Learning / Classe virtuelle / Visio conférence | Tarif :1450 €HT par personne

Financement

Facturation : Sociétés immatriculées en France / Belgique / Luxembourg / Suisse / Canada / Monaco
OU Prise en charge OPCO : OPCO2i – AFDAS – ATLAS – Ocapiat – Uniformation – Constructys – L’Opcommerce – Akto – Opco Mobilités – Opco EP – Opco Santé
Formation NON prise en charge par le CPF (Compte personnel de formation) Ni par POLE EMPLOI

Facture PROFORMA pour les pays : Maroc / Tunisie / Algérie / Congo & RDC / Cameroun / Côte d’Ivoire / Madagascar / Haïti / Sénégal / Burkina Faso / Benin / Guinée / Mali / Togo / Niger / Tchad / Centrafrique / Gabon / Burundi / Rwanda / Djibouti / Guinée Equatoriale / Comores / Vanuata / Seychelles / Mauritanie

CONCEPTION DU CIRCUIT IMPRIMÉ

  • Le cahier des charges.
  • Le principe d’un logiciel de conception : du schéma électrique au routage, en passant par le chevelu.
  • Certaines contraintes de conception mécaniques (formats de carte imposés, ex de routage et implantation selon UTE 93703, testabilité, possibilités de réparations…), électriques (perturbations inductives et capacitives, CEM entre cartes) et thermiques (répartition des composants et plans de masse, le frein thermique, dimension des pastilles pour la vague, …) ; pour la fonctionnalité de la carte et sa fabrication.
  • Exemple d’un dossier de fabrication, les possibles réutilisations de fichiers en fabrication.

 

DÉFINITION DU CIRCUIT IMPRIMÉ NU

  • Les différentes technologies de circuit et la terminologie associée : simple face, double face, trou métallisé, multicouches, flex rigide, flex hybride etc.
  • Gamme simplifiée de fabrication d’un circuit imprimé
  • Les principaux matériaux de constitution : armatures, résines, les principales caractéristiques d’un circuit: Tg, humidité, coefficients de dilatation, force d’adhérence… et leurs domaines d’application. Ce que les alliages sans plomb peuvent remettre en cause
  • Les principales finitions de circuits (HAL, Ni.Au, passivation, …) leurs intérêts respectifs: conservation de la brasabilité du métal de base, conditions de stockage, aptitude à la sérigraphie de crème, respect du process sans plomb, …
  • Les classes des circuits imprimés : critères principaux selon la norme NFC 93713 et notion de coût

 

DÉSCRIPTION DES COMPOSANTS ET MOYENS D’INSERTION OU POSE

  • Intérêts, pas, taille et les fonctions des principaux composants traditionnels
  • Le préformage et l’insertion des composants traditionnels en manuel et/ou automatique
  • L’arrivée de la technologie CMS : intérêt et domaines d’utilisation, nom des composants, leurs identifications et dimension, orientations futures vers les technologies associées à la miniaturisation des composants : chip 0201, CSP, flip chip, COB, MCM…
  • Les changements apportés par la technologie CMS dans le conditionnement, les principes de machines de placement haute cadence (pick and place, tourelle, revolver) …
  • Cas des M.S.L: sensibilité de certains composants face à l’humidité, stockage et/ou étuvage préventif avant procédé de brasage J STD 033B
  • La sensibilité de certains composants face aux décharges électrostatiques et les moyens de prévention utilisés selon la norme EN 61340-5-1&2

 

LE BRASAGE DE LA CARTE ÉLECTRONIQUE

  • Le brasage : terminologie et conditions de réalisation d’un joint brasé avec un alliage au plomb et sans plomb. Appréciation de l’angle de mouillage avec un moyen de le mesurer : le méniscographe ou méniscomètre (intérêts de ces outils). L’importance des matériaux utilisés : rôles du flux et de l’alliage. Risques de pollution des joints et bains : les précautions d’analyse de bain de vague et dédorage, et la maîtrise des épaisseurs selon les finitions. Filières de câblages pour cartes avec composants traditionnels et/ou CMS.
  • Le brasage manuel : utilisation d’un fer, choix des pannes et des fils dans le cadre du brasage, exemples de procédés retouches et réparations (pour traversants et CMS). Incidences des alliages sans plomb sur le procédé de brasage manuel.
  • Le brasage à la vague : principes de la machine à braser à la vague, détermination des différentes fonctions à réaliser, son utilisation pour braser les CMS collés. Principales contraintes que cela implique et quelques exemples de défauts typiques (remontée insuffisante, court-circuit). Exemples de profils thermiques pour les alliages au plomb et sans plomb. L’alliage sans plomb : conséquences pour les équipements.
  • La refusion : description et fabrication de la crème à braser, principes de dépôt de crème à braser (point par point ou par sérigraphie). Principes des différents systèmes de refusion (I.R, convection forcée, phase vapeur). Exemples de profils thermiques pour les alliages au plomb et sans plomb (J STD 020D). Cas de la double refusion et quelques exemples de défauts typiques (microbillage, perlage, tombstoning).
  • Le brasage sélectif
    • Intérêt du brasage sélectif
    • Les procédés de brasage sélectif par contact :
  • Lavague : Etude des principes pour chacun des systèmes : fluxage, préchauffage, contact au bain, convoyage et contraintes associées, telles que conception des cartes, des outillages, risques sur les produits.
    • Vague standard et utilisation d’un masque de brasage (matériaux utilisés, règles de conception, réglage machine)
    • Minivague (monobuse): règles de conception de la carte, différents procédés (dip et drag soldering), exemple de réglage machine système par fontaines (multibuses)
  • Le fer : principe, contraintes.
    • Procédé manuel : vu précédemment
    • Procédé automatique par robot (cartésien ou scara), les outillages, mode opératoire.
    • Le procédé de brasage sélectif sans contact :
  • Le laser : principe de fonctionnement du laser, sécurité, risques associés.
    • Contraintes associées à l’utilisation du laser
    • Le procédé de brasage par laser : caractéristiques des équipements (réglages, paramètres), procédé par masquage, procédé global, procédé point par point.
  • Le nettoyage ou non-nettoyage des cartes, la contamination qui en résulte (principes d’une mesure de contamination ionique, principe d’un test SIR et BONO). Ce qu’apporte une tropicalisation des cartes.

 

TEST ET INSPECTION DES CARTES CÂBLÉES

Énumération des tests destructifs et non destructifs :

  • Le test électrique : intérêts des différents principes de test in situ (avec lits de clous et/ou sondes mobiles), test sans contact (boundary scan), test fonctionnel final par plate-forme.
  • L’inspection : assistée par opérateurs (présentation d’un référentiel : IPC A 610), AOI, RX.
  • Intérêts d’un vieillissement et déverminage : burn in, cycle thermique en VRT ou VLT, vibrations.
  • Les coupes micrographiques : intérêts et limitations. Présentation de photos de coupes micrographiques.

 

CONTRÔLE ET SUIVI DU PROCÉDÉ

Buts de la mise en place du SPC dans un atelier. Les systèmes de mesure, les outils…

 

S.E.F Formation Technique est capable de vous former aussi : 

  •  à lire des plans et des notices.
  •  à utiliser les divers appareils de mesure électroniques ainsi que leur rôle et leur fonctionnement.
  •  étudier de composants semi-conducteurs, ce qui vous a conduit aux circuits électroniques.

Comprendre mieux les systèmes électroniques et être en mesure d’intervenir sur différents appareils ou équipements, que ce soit pour la prise de mesure, le montage ou encore le dépannage.

Les plans et les notices :

Symboles employés en électronique outre qu’ils étaient divisés en plusieurs groupes réunis au sein des normes françaises C.03 de l’UTE. Le nombre de ces symboles étaient identiques aux symboles électriques.

  •  les codifications qui identifient la valeur des composants comme les résistances et les condensateurs ainsi que le code des couleurs des résistances.
  •  la terminologie électronique par l’intermédiaire du langage et de la définition de certains termes.
  •  les divers plans que l’on retrouve en électronique, soit les plans électriques, électroniques et électromécaniques.
  •  les notices lors d’un montage ou d’une réparation.

Les appareils de mesure :

  •  Les appareils d’usage général comme le voltmètre (tension), l’ampèremètre (courant), l’ohmmètre (résistance) et le multimètre, qui est la combinaison des trois précédents.
  •  utiliser des appareils propres à l’électronique tels l’oscilloscope ou la sonde logique. Vous savez à présent que l’oscilloscope est un appareil pratique qui permet de visualiser le signal à l’aide d’un écran cathodique alors que la sonde logique s’emploie pour détecter des niveaux logiques binaires.

Le montage d’un circuit électronique :

  •  Les notions de sécurité comme les dangers d’électrocution et les protections à prendre.
  •  Les diverses méthodes de montage comme le montage sur circuit imprimé ou sur plaque d’essai.
  •  Apprentissage des divers outils qu’on utilise pour les montages électroniques, tels le fer à souder, les pinces d’électricien et les tournevis de précision.
  •  Vérifier le bon fonctionnement de vos montages grâce à l’identification des bornes d’un circuit (entrée, sortie, alimentation et masse) et à la mesure des paramètres de fonctionnement comme la tension, le courant ou le signal de sortie d’un circuit électronique.

Les principaux composants semi-conducteurs :

  •  Etude des divers types de diode comme le DEL, la diode Zener et plus particulièrement la diode standard. Vous avez appris que la diode jouait le rôle d’un clapet antiretour, c’est-à-dire qu’elle ne laisse passer le courant que dans un sens. Par la suite, vous avez étudié les transistors bipolaires PNP et NPN.
  •  le rôle principal du transistor est d’amplifier un courant, vous avez pu le constater avec quelques exemples de montage d’amplification. Vous avez aussi vu quelques montages utilisant le transistor en commutation.
  •  Enfin, vous avez étudié quelques autres dispositifs semi-conducteurs, et circuits intégrés tel que l’amplificateur intégré linéaire, (A.I.L.).

Les circuits électroniques de base :

  •  les circuits redresseurs qui utilisent des diodes pour bloquer des alternances d’un signal ce qui, dans certaines utilisations, permet de créer une source de tension continue.
  •  Le redresseur simple alternance, qui n’utilise qu’une seule diode, perd la partie du signal qui correspond à la polarisation inverse de la diode.
  •  Le redresseur double alternance utilise deux (redresseur à point milieu) ou quatre (redresseur en pont) diodes pour récupérer toutes les alternances du signal, ce qui le rend beaucoup plus efficace.
  •  Les circuits de filtrage servaient à réduire l’ondulation d’un signal, pour ainsi augmenter le niveau moyen de tension continue d’un redresseur. Le plus employé est le filtre capacitif en raison de sa simplicité et de son faible coût. On utilise également, dans certains cas, le filtre inductif ou les filtres en L (LC) ou en ∏ (CLC).
  •  Les circuits d’amplification munis d’un transistor bipolaire et les trois montages que vous avez vus sont : à base commune, à émetteur commun et à collecteur commun. Vous avez aussi aborder les montages amplificateurs à A.I.L. : le montage inverseur, le montage non inverseur, le montage suiveur. Vous vous êtes finalement familiarisés avec les caractéristiques et le rôle de chacun de ces montages.

Recherche et du remplacement d’un composant défectueux :

  •  les méthodes qui permettent de localiser le composant défectueux à savoir : l’inspection visuelle et la prise de mesure. les méthodes pour remplacer, de façon sécuritaire, un composant ou une carte électronique.

Tous ces éléments vous ont permis de développer l’habileté requise et la méthode appropriée pour intervenir en cas de dépannage d’un système électronique.

A SAVOIR : 

L’électronique est une branche de la physique appliquée« qui s’intéresse aux phénomènes de conduction électrique et aux équipements associés». Elle traite « du mouvement des porteurs de charge dans le vide, les gaz et les semiconducteurs, des phénomènes de conduction électrique qui en résultent, et de leurs applications ».

On parle d’électronique surtout quand les circuits électriques comportent des éléments amplificateurs et notamment des semi-conducteurs1. Le terme électrotechnique recouvre en principe l’ensemble des applications de l’électricité, mais en français, on en exclut les domaines des télécommunications et des technologies de l’information, que l’on considère ainsi du domaine exclusif de l’électronique.

Les métiers de l’électronique se répartissent en domaines assez spécialisés, qui constituent chacun un domaine d’étude : électronique numériqueélectronique de puissance, énergie et signal électrique, électrotechnique, microprocesseur, télécommunications, circuit électrique, composants, etc.

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, gants, VAT)

MÉTHODE ET MOYENS

PC et vidéo projecteur. 1 Copie des cours est remise aux stagiaires sur clé USB.

DOCUMENTATION

Toute documentation fournie au stagiaire pendant sa formation est utilisable au quotidien dans l’entreprise au cours de son activité professionnelle.

PÉDAGOGIE

Techniques pédagogiques utilisées sont Participative et Actives.

QUALITÉ

Nous réalisons à chaque fin de formation une évaluation à chaud sur la base des objectifs définis dans la fiche de programme.

SANCTION

Une attestation de stage est délivrée à l’issue de toutes les formations.

Méthode d'évaluation

En contrôle continu et tests de connaissances pour les formations habilitantes.

Formation réalisable en entreprise ou sur les villes suivantes : 

Formations réalisables en entreprise sur les secteurs : 

VILLES : 01- Paris 02- Marseille 03- Lyon 04- Toulouse 05- Nice 06- Nantes 07- Strasbourg 08- Montpellier 09- Bordeaux 10- Lille 11- Rennes 12- Reims 13- Le Havre 14- Saint-Étienne 15- Toulon 16- Grenoble 17- Angers 18- Dijon 19- Brest 20- Le Mans 21- Nîmes 22- Aix-en-Provence 23- Clermont-Ferrand 24- Tours 25- Amiens 26- Limoges 27- Villeurbanne 28- Metz 29- Besançon 30- Perpignan 31- Orléans 32- Caen 33- Mulhouse 34- Boulogne-Billancourt 35- Rouen 36- Nancy 37- Argenteuil 38- Montreuil 39- Saint-Denis 40- Roubaix 41- Avignon 42- Tourcoing 43- Poitiers 44- Nanterre 45- Créteil 46- Versailles 47- Pau 48- Courbevoie 49- Vitry-sur-Seine 50- Asnières-sur-Seine 51- Colombes 52- Aulnay-sous-Bois 53- La Rochelle 54- Rueil-Malmaison 55- Antibes 56- Saint-Maur-des-Fossés 57- Calais 58- Champigny-sur-Marne 59- Aubervilliers 60- Béziers 61- Bourges 62- Cannes 63- Saint-Nazaire 64- Dunkerque 65- Quimper 66- Valence 67- Colmar 68- Drancy 69- Mérignac 70- Ajaccio 71- Levallois-Perret 72- Troyes 73- Neuilly-sur-Seine 74- Issy-les-Moulineaux 75- Villeneuve-d’Ascq 76- Noisy-le-Grand 77- Antony 78- Niort 79- Lorient 80- Sarcelles 81- Chambéry 82- Saint-Quentin 83- Pessac 84- Vénissieux 85- Cergy 86- La Seyne-sur-Mer 87- Clichy 88- Beauvais 89- Cholet 90- Hyères 91- Ivry-sur-Seine 92- Montauban 93- Vannes 94- La Roche-sur-Yon 95- Charleville-Mézières 96- Pantin 97- Laval 98- Maisons-Alfort 99- Bondy 100- Évry

REGIONS : Alsace, Aquitaine, Auvergne, Basse-Normandie, Haute-Normandie, Bourgogne, Bretagne, Centre, Champagne-Ardenne, Corse, Franche Comté, Ile De France (IDF), Languedoc-Roussillon, Limousin, Lorraine, Midi-Pyrénées, Nord pas de Calais, Pays de la Loire, Picardie, Poitou-Charentes, Provence Alpes Côtes d’Azur (PACA), Rhône Alpes, Hauts de France, Grand-Est, Normandie, Centre val de Loire, Nouvelle Aquitaine, Occitanie.

DEPARTEMENTS01 – Ain 02 – Aisne 03 – Allier 04 – Alpes-de-Haute-Provence 05 – Hautes-Alpes 06 – Alpes-Maritimes 07 – Ardèche 08 – Ardennes 09 – Ariège 10 – Aube 11 – Aude 12 – Aveyron 13 – Bouches-du-Rhône 14 – Calvados 15 – Cantal 16 – Charente 17 – Charente-Maritime 18 – Cher 19 – Corrèze 21 – Côte-d’Or 22 – Côtes-d’Armor 23 – Creuse 24 – Dordogne 25 – Doubs 26 – Drôme 27 – Eure 28 – Eure-et-Loir 29 – Finistère 2B 2A Corse 30 – Gard 31 – Haute-Garonne 32 – Gers 33 – Gironde 34 – Hérault 35 – Ille-et-Vilaine 36 – Indre 37 – Indre-et-Loire 38 – Isère 39 – Jura 40 – Landes 41 – Loir-et-Cher 42 – Loire 43 – Haute-Loire 44 – Loire-Atlantique 45 – Loiret 46 – Lot 47 – Lot-et-Garonne 48 – Lozère 49 – Maine-et-Loire 50 – Manche 51 – Marne 52 – Haute-Marne 53 – Mayenne 54 – Meurthe-et-Moselle 55 – Meuse 56 – Morbihan 57 – Moselle 58 – Nièvre 59 – Nord 60 – Oise 61 – Orne 62 – Pas-de-Calais 63 – Puy-de-Dôme 64 – Pyrénées-Atlantiques 65 – Hautes-Pyrénées 66 – Pyrénées-Orientales 67 – Bas-Rhin 68 – Haut-Rhin 69 – Rhône 70 – Haute-Saône 71 – Saône-et-Loire 72 – Sarthe 73 – Savoie 74 – Haute-Savoie 75 – Paris 76 – Seine-Maritime 77 – Seine-et-Marne 78 – Yvelines 79 – Deux-Sèvres 80 – Somme 81 – Tarn 82 – Tarn-et-Garonne 83 – Var 84 – Vaucluse 85 – Vendée 86 – Vienne 87 – Haute-Vienne 88 – Vosges 89 – Yonne 90 – Territoire de Belfort 91 – Essonne 92 – Hauts-de-Seine 93 – Seine-Saint-Denis 94 – Val-de-Marne 95 – Val-d’Oise

LUXEMBOURG : Luxembourg Differdange Esch sur Alzette Dudelange Bettembourg

BELGIQUE (Wallonie) : Namur, Charleroi, Liège, Mons, Tournai, Bruxelles (Région Brabant Wallon, Province du Luxembourg, Hainaut, Namur, Liège)

SUISSE : Zurich, Genève, Bâle, Lausanne (Régions Fribourg, Jura, Neuchâtel, Valais, Vaud)

DOM-TOM (DROM-COM) : 971 – Guadeloupe 972 – Martinique 973 – Guyane 974 – La Réunion 975 – Saint-Pierre-et-Miquelon 976 – Mayotte 977 – Saint-Barthélemy 978 – Saint-Martin 986 – Wallis-et-Futuna 987 – Polynésie Française 988 – Nouvelle-Calédonie

MONACO : Monté Carlo

CANADA : Québec / Montréal