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FORMATION Chaudière Haute Puissance >50 MW / Arrêté du 3 août 2018 / Habilitation Chaufferie

évaluation en contrôle continu

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, lunettes)

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, bleu de travail adapté au soudage)

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, casque)

Tarifs

Formation sur site client | Tarif INTRA ENTREPRISE :1700 €HT par jour de formation pour le groupe + déplacement sur site client
Répartition pédagogique: 50% théorie / 50% pratique
Formation sur site client | Tarif INTRA ENTREPRISE :1700 €HT par jour de formation pour le groupe + déplacement sur site client

Financement

Facturation : Sociétés immatriculées en France / Belgique / Luxembourg / Suisse / Canada / Monaco
OU Prise en charge OPCO : OPCO2i – AFDAS – ATLAS – Ocapiat – Uniformation – Constructys – L’Opcommerce – Akto – Opco Mobilités – Opco EP – Opco Santé
Formation NON prise en charge par le CPF (Compte personnel de formation) Ni par POLE EMPLOI

Facture PROFORMA pour les pays : Maroc / Tunisie / Algérie / Congo & RDC / Cameroun / Côte d’Ivoire / Madagascar / Haïti / Sénégal / Burkina Faso / Benin / Guinée / Mali / Togo / Niger / Tchad / Centrafrique / Gabon / Burundi / Rwanda / Djibouti / Guinée Equatoriale / Comores / Vanuata / Seychelles / Mauritanie

Arrêté du 3 août 2018 relatif aux installations de combustion d’une puissance thermique nominale totale supérieure ou égale à 50 MW soumises à autorisation au titre de la rubrique 3110

RECYCLAGE ANNUEL FORMATION OBLIGATOIRE – 1 jour

Contexte réglementaire :
Présentation d’une installation de combustion
Risques d’explosion et d’incendie

Combustibles et combustion
Origines et caractéristiques des combustibles
Stockage des combustibles

Combustion
Mélanges explosifs
Contrôle de la qualité de la combustion

Équipements de combustion
Technologie des brûleurs
Panoplies gaz
Dispositifs de sécurité

Installations de combustion
Chaudières eau chaude
Fours
Équipements de sécurité spécifiques

Implantation de l’installation
Local et dispositions de sécurité

Surveillance, conduite, maintenance
Paramètres et caractéristiques de fonctionnement
Analyse des dérives et défauts de fonctionnement
Arrêt en sécurité et remise en service
Mise en service et arrêt
Consignation

Application pratique dans l’établissement du stagiaire
Identification de l’installation
Application des instructions et consignes
Réalisation des opérations de surveillance et conduite

Qui est concerné par cette formation ?

Au sens de l’arrêté, on entend par :

– « Appareil de combustion » : tout dispositif technique unitaire visé par la rubrique 3110 de la nomenclature des installations classées et qui n’est pas exclu du présent arrêté, dans lequel des produits combustibles sont oxydés en vue d’utiliser la chaleur ainsi produite ;
– « Appareil de traitement thermique des gaz résiduaires » : tout dispositif technique qui a pour objet l’épuration des gaz résiduaires par oxydation thermique et qui n’est pas exploité comme une installation de combustion autonome. Sont exclus de cette définition les appareils de combustion mettant en œuvre une recirculation des fumées ;
– « Appareil destiné aux situations d’urgence » :
– turbine ou moteur destiné uniquement à alimenter des systèmes de sécurité ou à prendre le relais de l’alimentation principale du site en cas de défaillance accidentelle de celle-ci, ou
– turbine dont le fonctionnement est nécessaire pour assurer la sécurité du réseau national d’électricité.
– « Biomasse » : les produits suivants :

a) les produits composés d’une matière végétale agricole ou forestière susceptible d’être employée comme combustible en vue d’utiliser son contenu énergétique ;
b) les déchets ci-après :
i) déchets végétaux agricoles et forestiers ;
ii) déchets végétaux provenant du secteur industriel de la transformation alimentaire, si la chaleur produite est valorisée ;
iii) déchets végétaux fibreux issus de la production de pâte vierge et de la production de papier à partir de pâte, s’ils sont coincinérés sur le lieu de production et si la chaleur produite est valorisée ;
iv) déchets de liège ;
v) déchets de bois, à l’exception des déchets de bois qui sont susceptibles de contenir des composés organiques halogénés ou des métaux lourds à la suite d’un traitement avec des conservateurs du bois ou du placement d’un revêtement tels que les déchets de bois de ce type provenant de déchets de construction ou de démolition ;

– « Chaudière » : tout appareil de combustion produisant de l’eau chaude, de la vapeur d’eau ou de l’eau surchauffée, ou modifiant la température d’un fluide thermique, grâce à la chaleur libérée par la combustion ;
– « Cheminée » : une structure contenant un ou plusieurs conduits destinés à rejeter les gaz résiduaires dans l’atmosphère ;
– « Combustible déterminant » : le combustible qui, parmi tous les combustibles utilisés dans une installation de combustion à foyer mixte utilisant les résidus de distillation et de conversion du raffinage du pétrole brut, seuls ou avec d’autres combustibles, pour sa consommation propre, a la valeur limite d’émission la plus élevée conformément au chapitre II du titre II du présent arrêté ou, au cas où plusieurs combustibles ont la même valeur limite d’émission, le combustible qui fournit la puissance thermique la plus élevée de tous les combustibles utilisés ;
– « Heures d’exploitation » : période, exprimée en heures, pendant laquelle tout ou partie d’une installation de combustion est en exploitation et rejette des émissions dans l’atmosphère, à l’exception des phases de démarrage et d’arrêt ;
– « Installation de combustion » : On considère comme une installation de combustion unique tout groupe d’appareils de combustion exploités par un même exploitant et situés sur un même site (enceinte de l’établissement) sauf à ce que l’exploitant démontre que les appareils ne pourraient pas être techniquement et économiquement raccordés à une cheminée commune. Pour les installations dont l’autorisation initiale a été accordée avant le 1er juillet 1987, les appareils de combustion non raccordés à une cheminée commune peuvent être considérés de fait comme ne pouvant pas être techniquement et économiquement raccordés à une cheminée commune ;
– « Installation de combustion à foyer mixte » : toute installation de combustion pouvant être alimentée simultanément ou tour à tour par deux types de combustibles ou davantage ;
– « Macropolluant » : Ensemble de substances comprenant les matières en suspension, les matières organiques et les nutriments, comme l’azote et le phosphore. Par opposition aux micropolluants, l’impact des macropolluants est visible à des concentrations plus élevées.
– « Moteur à gaz » : un moteur à combustion interne fonctionnant selon le cycle Otto et utilisant un allumage par étincelle ou, dans le cas de moteurs à double combustible, un allumage par compression pour brûler le combustible ;
– « Moteur Diesel » : un moteur à combustion interne fonctionnant selon le cycle Diesel et utilisant un allumage par compression pour brûler le combustible ;
– « NQE » : norme de qualité environnementale : la concentration d’un polluant ou d’un groupe de polluants dans l’eau, les sédiments ou le biote qui ne doit pas être dépassée afin de protéger la santé humaine et l’environnement ;
– « Polluant spécifique de l’état écologique » : substance dangereuse recensée comme étant déversée en quantité significative dans les masses d’eau de chaque bassin ou sous-bassin hydrographique ;
– « Poussières » : les particules de forme, de structure ou de masse volumique quelconque dispersées dans la phase gazeuse dans les conditions au point de prélèvement, qui sont susceptibles d’être recueillies par filtration dans les conditions spécifiées après échantillonnage représentatif du gaz à analyser, et qui demeurent en amont du filtre et sur le filtre après séchage dans les conditions spécifiées ;
– « Puissance thermique nominale d’un appareil de combustion » : la puissance thermique fixée et garantie par le constructeur, exprimée en pouvoir calorifique inférieur susceptible d’être consommée en marche continue, exprimée en mégawatts thermiques (MW) ;
– « Puissance thermique nominale totale » : la somme des puissances thermiques nominales de tous les appareils de combustion de puissance thermique nominale supérieure ou égale à 15 MW qui composent l’installation de combustion, exprimée en mégawatts thermiques (MW).

 

Lorsque plusieurs appareils de combustion qui composent l’installation sont dans l’impossibilité technique de fonctionner simultanément, la puissance de l’installation est la valeur maximale parmi les sommes de puissances des appareils pouvant être simultanément mises en œuvre.
Aux fins du calcul de la puissance thermique nominale totale au présent arrêté, on ne tient pas compte de la puissance thermique nominale des appareils listés au point III de l’article 3 qui n’entrent pas dans le champ d’application du présent arrêté ;

– « Substance dangereuse » ou « micropolluant » : substance ou groupe de substances qui sont toxiques, persistantes et bioaccumulables, et autre substance ou groupe de substances qui sont considérées, à un degré équivalent, comme sujettes à caution ;
– « Turbine à gaz » : tout appareil rotatif qui convertit de l’énergie thermique en travail mécanique et consiste principalement en un compresseur, un dispositif thermique permettant d’oxyder le combustible de manière à chauffer le fluide de travail, et une turbine ; sont comprises dans cette définition les turbines à gaz à circuit ouvert et les turbines à gaz à cycle combiné, ainsi que les turbines à gaz en mode de cogénération, équipées ou non d’un brûleur supplémentaire dans chaque cas ;
– « Zone de mélange » : zone adjacente au point de rejet où les concentrations d’un ou plusieurs polluants peuvent dépasser les normes de qualité environnementales. Cette zone est proportionnée et limitée à la proximité du point de rejet et ne compromet pas le respect des normes de qualité environnementales sur le reste de la masse d’eau.

 

A SAVOIR / INFO RH FORMATION : 

Qu’est-ce qu’une chaudière à vapeur industrielle ?

La chaudière vapeur ou générateur de vapeur est un appareil d’échange thermique qui est destiné à produire de la vapeur d’eau, ce qui fait sa différence avec les autres chaudières. Cette vapeur d’eau est ensuite utilisée par des émetteurs de chaleur, mais il est à préciser que cet appareil n’est pas destiné au chauffage intérieur. La  vapeur peut aussi être utilisée pour chauffer le fluide caloporteur d’un autre appareil. Pour alimenter un autre appareil, il faut bien choisir son radiateur à vapeur et le modèle industriel est conseillé à ceux qui en ont besoin pour la production de source d’énergie. Dans son acquisition aussi, il faut rester méfiant, car certaines chaudières à condensation sont aussi dénommées chaudières à vapeur. Ces deux appareils sont presque similaires, mais la chaudière à condensation utilise la condensation de la vapeur d’eau dans le combustible tandis que l’autre, elle utilise la vapeur dans un circuit interne.

Les chaudières industrielles à tube d’eau et à tube de fumée

Pour ces deux types d’appareils, un brûleur fournit la chaleur qui fera fonctionner l’ensemble. Les industriels qui sont à la recherche d’une capacité optimale pour l’émission de vapeur optent pour les chaudières à tube. Ces dernières peuvent fournir une fumée allant jusqu’à 300 °C et ont un meilleur rendement par rapport aux autres chaudières. Les vapeurs produites par ces machines sont des vapeurs surchauffées à moyen et forte pression.

Les chaudières à tube de fumée sont dotées d’un grand tube foyer ondulé où la flamme se développe. Ce tube ne contient pas d’eau, l’on y trouve uniquement des fumées. L’eau circule à travers un réseau de tubes qui reçoit la chaleur provenant des fumées par convection naturelle ou forcée et l’eau une fois chauffée produit de la vapeur. La chaudière à tube de fumée a une activité de préchauffage très lent et avec cette machine, les risques dévastateurs d’explosions sont beaucoup plus importants, en raison de la rapidité de la transformation d’eau en vapeur. Ce sont les fluides qui circulent à travers ses tubes qui font la différence entre ces deux machines. La chaudière à tube de fumée fournit plutôt une vapeur à faible pression qui ne dépasse pas les 15 bars.

Le fonctionnement d’une chaudière

Que ce soit une chaudière à eau chaude que l’on installe dans notre demeure ou une chaudière industrielle, le principe de fonctionnement de ces appareils est à peu près les mêmes. Ce qui va varier le principe est le modèle et la capacité de la machine.

La chaudière a besoin d’une source d’énergie pour fonctionner. La plupart des machines marchent à l’électricité, mais certaines chaudières chauffent au bois, au fioul ou au gaz. Les grands fabricants de ces machines ont récemment mis sur le marché la chaudière qui fonctionne à l’air. Celles qui sont à combustion, le carburant est brûlé et ce sont ces machines qui dégagent du gaz. Pour les modèles électriques, il n’y a ni combustion ni échappement de la fumée. Cette énergie sert à produire de la chaleur et cette dernière va dans les circuits reliés à des émetteurs et dispositifs d’émission de chaleur. Les chaudières électriques en particulier sont dotées d’une résistance qui une fois chauffée, transmet de la vapeur aux dispositifs d’émission.

Avantages pour l’utilisateur

Les modèles que nous avons aujourd’hui sont beaucoup plus performants et sont dotés de dispositifs qui leur permettent de consommer moins d’énergie. Dans une usine, la chaudière figure parmi les machines qui consomment beaucoup de sources d’énergie, mais l’installation des derniers modèles va vous permettre de réduire cette consommation. Quel que soit le modèle de chaudière à vapeur que vous prenez, ces machines ont été fabriquées pour résister aux conditions de production que vous avez dans votre atelier : ils sont fiables et robustes.

La chaudière vapeur industrielle a un rendement constant et son utilisateur ne doit pas craindre d’une baisse de production soudaine. Il est aussi possible d’avoir d’autres fonctions sur cette même machine comme le brûleur. Les échanges thermiques s’effectuent par rayonnement et par convention, ceci fait la qualité de la vapeur.

Pour ce qui est du côté respect de l’environnement, les chaudières qui sont marqués CE, ont été fabriqués dans les normes environnementales. Ces machines dégagent moins de gaz nocifs. Si dans l’usine, l’activité sonore est déjà très forte, les dernières chaudières produisent moins de bruits.

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, gants, VAT)

MÉTHODE ET MOYENS

PC et vidéo projecteur. 1 Copie des cours est remise aux stagiaires sur clé USB.

DOCUMENTATION

Toute documentation fournie au stagiaire pendant sa formation est utilisable au quotidien dans l’entreprise au cours de son activité professionnelle.

PÉDAGOGIE

Techniques pédagogiques utilisées sont Participative et Actives.

QUALITÉ

Nous réalisons à chaque fin de formation une évaluation à chaud sur la base des objectifs définis dans la fiche de programme.

SANCTION

Une attestation de stage est délivrée à l’issue de toutes les formations.

Méthode d'évaluation

En contrôle continu et tests de connaissances pour les formations habilitantes.

Formation réalisable en entreprise ou sur les villes suivantes : 

Formations réalisables en entreprise sur les secteurs : 

VILLES : 01- Paris 02- Marseille 03- Lyon 04- Toulouse 05- Nice 06- Nantes 07- Strasbourg 08- Montpellier 09- Bordeaux 10- Lille 11- Rennes 12- Reims 13- Le Havre 14- Saint-Étienne 15- Toulon 16- Grenoble 17- Angers 18- Dijon 19- Brest 20- Le Mans 21- Nîmes 22- Aix-en-Provence 23- Clermont-Ferrand 24- Tours 25- Amiens 26- Limoges 27- Villeurbanne 28- Metz 29- Besançon 30- Perpignan 31- Orléans 32- Caen 33- Mulhouse 34- Boulogne-Billancourt 35- Rouen 36- Nancy 37- Argenteuil 38- Montreuil 39- Saint-Denis 40- Roubaix 41- Avignon 42- Tourcoing 43- Poitiers 44- Nanterre 45- Créteil 46- Versailles 47- Pau 48- Courbevoie 49- Vitry-sur-Seine 50- Asnières-sur-Seine 51- Colombes 52- Aulnay-sous-Bois 53- La Rochelle 54- Rueil-Malmaison 55- Antibes 56- Saint-Maur-des-Fossés 57- Calais 58- Champigny-sur-Marne 59- Aubervilliers 60- Béziers 61- Bourges 62- Cannes 63- Saint-Nazaire 64- Dunkerque 65- Quimper 66- Valence 67- Colmar 68- Drancy 69- Mérignac 70- Ajaccio 71- Levallois-Perret 72- Troyes 73- Neuilly-sur-Seine 74- Issy-les-Moulineaux 75- Villeneuve-d’Ascq 76- Noisy-le-Grand 77- Antony 78- Niort 79- Lorient 80- Sarcelles 81- Chambéry 82- Saint-Quentin 83- Pessac 84- Vénissieux 85- Cergy 86- La Seyne-sur-Mer 87- Clichy 88- Beauvais 89- Cholet 90- Hyères 91- Ivry-sur-Seine 92- Montauban 93- Vannes 94- La Roche-sur-Yon 95- Charleville-Mézières 96- Pantin 97- Laval 98- Maisons-Alfort 99- Bondy 100- Évry

REGIONS : Alsace, Aquitaine, Auvergne, Basse-Normandie, Haute-Normandie, Bourgogne, Bretagne, Centre, Champagne-Ardenne, Corse, Franche Comté, Ile De France (IDF), Languedoc-Roussillon, Limousin, Lorraine, Midi-Pyrénées, Nord pas de Calais, Pays de la Loire, Picardie, Poitou-Charentes, Provence Alpes Côtes d’Azur (PACA), Rhône Alpes, Hauts de France, Grand-Est, Normandie, Centre val de Loire, Nouvelle Aquitaine, Occitanie.

DEPARTEMENTS01 – Ain 02 – Aisne 03 – Allier 04 – Alpes-de-Haute-Provence 05 – Hautes-Alpes 06 – Alpes-Maritimes 07 – Ardèche 08 – Ardennes 09 – Ariège 10 – Aube 11 – Aude 12 – Aveyron 13 – Bouches-du-Rhône 14 – Calvados 15 – Cantal 16 – Charente 17 – Charente-Maritime 18 – Cher 19 – Corrèze 21 – Côte-d’Or 22 – Côtes-d’Armor 23 – Creuse 24 – Dordogne 25 – Doubs 26 – Drôme 27 – Eure 28 – Eure-et-Loir 29 – Finistère 2B 2A Corse 30 – Gard 31 – Haute-Garonne 32 – Gers 33 – Gironde 34 – Hérault 35 – Ille-et-Vilaine 36 – Indre 37 – Indre-et-Loire 38 – Isère 39 – Jura 40 – Landes 41 – Loir-et-Cher 42 – Loire 43 – Haute-Loire 44 – Loire-Atlantique 45 – Loiret 46 – Lot 47 – Lot-et-Garonne 48 – Lozère 49 – Maine-et-Loire 50 – Manche 51 – Marne 52 – Haute-Marne 53 – Mayenne 54 – Meurthe-et-Moselle 55 – Meuse 56 – Morbihan 57 – Moselle 58 – Nièvre 59 – Nord 60 – Oise 61 – Orne 62 – Pas-de-Calais 63 – Puy-de-Dôme 64 – Pyrénées-Atlantiques 65 – Hautes-Pyrénées 66 – Pyrénées-Orientales 67 – Bas-Rhin 68 – Haut-Rhin 69 – Rhône 70 – Haute-Saône 71 – Saône-et-Loire 72 – Sarthe 73 – Savoie 74 – Haute-Savoie 75 – Paris 76 – Seine-Maritime 77 – Seine-et-Marne 78 – Yvelines 79 – Deux-Sèvres 80 – Somme 81 – Tarn 82 – Tarn-et-Garonne 83 – Var 84 – Vaucluse 85 – Vendée 86 – Vienne 87 – Haute-Vienne 88 – Vosges 89 – Yonne 90 – Territoire de Belfort 91 – Essonne 92 – Hauts-de-Seine 93 – Seine-Saint-Denis 94 – Val-de-Marne 95 – Val-d’Oise

LUXEMBOURG : Luxembourg Differdange Esch sur Alzette Dudelange Bettembourg

BELGIQUE (Wallonie) : Namur, Charleroi, Liège, Mons, Tournai, Bruxelles (Région Brabant Wallon, Province du Luxembourg, Hainaut, Namur, Liège)

SUISSE : Zurich, Genève, Bâle, Lausanne (Régions Fribourg, Jura, Neuchâtel, Valais, Vaud)

DOM-TOM (DROM-COM) : 971 – Guadeloupe 972 – Martinique 973 – Guyane 974 – La Réunion 975 – Saint-Pierre-et-Miquelon 976 – Mayotte 977 – Saint-Barthélemy 978 – Saint-Martin 986 – Wallis-et-Futuna 987 – Polynésie Française 988 – Nouvelle-Calédonie

MONACO : Monté Carlo

CANADA : Québec / Montréal